Agence Nationale Pour L Indemnisation Des Français D Outre Mer

Circulaire Cnav 40/96 du 11/04/1996 Circulaire n° 40/96 du 11 avril 1996 Caisse nationale d'assurance vieillesse Destinataires Madame et Messieurs les Directeurs des CRAM chargées de l'assurance vieillesse de la caisse régionale d'assurance vieillesse de Strasbourg et des caisses générales de sécurité sociale. Objet Loi n° 85-1274 du 4 décembre 1985 - Attestation de rapatriement - Domaine respectifs de compétence de l'ANIFOM et du Service central des rapatriés Résumé Rappel des compétences respectives de l'Agence nationale pour l'indemnisation des Français d'Outre-Mer et du Service central des rapatriés en matière de délivrance des attestations de rapatriement. A l'occasion d'une intervention du Service Central des Rapatriés il a paru nécessaire de rappeler les compétences des deux organismes susceptibles de délivrer les attestations de rapatriement et les critères à prendre en compte pour orienter les assurés vers l'un ou l'autre de ces organismes. 11 - Le service central des rapatriés (SCR) Son adresse est la suivante: 57, Cours du XIV juillet 47916 AGEN CEDEX 9 Cet organisme exerce notamment les missions précédemment dévolues à la Délégation pour l'Accueil et le Reclassement des Rapatriés.

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Agence Nationale pour l'indemnisation des Français Outre Mer 54 RUE DE CHATEAUDUN 75009 Paris Administration de l'Economie et des Finances – Institutions politiques nationales et médiateur de la République Je renseigne gratuitement mes horaires d'ouverture

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Politique Abandon. Le gouvernement va supprimer l'Agence nationale pour l'indemnisation des Français d'outre-mer (Anifom) et la Mission interministérielle aux rapatriés. Tout se fait en catimini. Photo © AFP Publié le 28 août 2013 à 13h00 Il faut économiser les deniers de l'État et simplifier l'administration. Selon cette logique, le couperet est tombé sur l'Agence nationale pour l'indemnisation des Français d'outremer, établissement public créé, en octobre 1970, par Georges Pompidou, et la Mission interministérielle aux rapatriés. Lancée en catimini, l'opération suscite la colère des rapatriés et l'incompréhension de nombreux élus, surtout à la veille d'une année électorale (municipales, européennes). Après avoir distribué, en quarante ans, près de 15 milliards d'euros aux rapatriés d'Indochine et d'Afrique, cette grande "agence notariale de l'État" devrait disparaître à la fin de cette année, à la suite d'une décision du Comité interministériel pour la modernisation de l'action publique.

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12 - L'agence nationale pour l'indemnisation des Français d'outre-mer (ANIFOM) Elle est située: 54, rue de Châteaudun 75009 PARIS Cet organisme ne dispose plus de centres régionaux, ceux-ci ayant cessé leur activité au cours de l'année 1990. 21 - Le service central des rapatriés Tous les dossiers constitués au moment du rapatriement, auprès de l'une des structures administratives mises en place à cet effet, sont actuellement détenus par le Service Central des Rapatriés (environ 800 000 dossiers). Il s'agit des dossiers constitués dans le cadre des mesures résultant de la loi n° 61-1439 du 26 décembre 1961 et des textes successifs pris pour son application, par les Français rapatriés et les étrangers visés au 2 e alinéa de l'article 3 de ladite loi. Certains dossiers ont pu également être constitués à l'occasion d'une demande d'allocation viagère aux rapatriés âgés telle qu'instituée par la loi de finances n° 63-628 du 2 juillet 1963. Il s'ensuit que le Service Central des Rapatriés est, dans ces deux cas, prioritairement compétent, compte tenu des éléments se trouvant déjà en sa possession, pour attester de la qualité de rapatrié.

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Article 2: La demande présentée par M. Truong M. K. devant le tribunal administratif de Strasbourg est rejetée. Article 3: La présente décision sera notifiée à l'AGENCE NATIONALE POUR L'INDEMNISATION DES FRANÇAIS D'OUTRE-MER, à M. Truong M. K. et au Premier ministre.

La très nette réduction d'activité survenue au cours des dernières années a conduit le ministre de l'économie et des finances à opérer des rapprochements entre l'ANIFOM et la mission interministérielle aux rapatriés (MIR), aux fins de mutualisation et de bonne administration. Plus récemment, le comité interministériel pour la modernisation de l'action publique (CIMAP) du 18 décembre 2012 a décidé de procéder à une évaluation de la politique publique relative à la gestion des prestations en faveur des populations relevant du ministre délégué chargé des anciens combattants. Dans ce cadre, la question des dispositifs administratifs et financiers au profit des rapatriés et des harkis a été examinée. Faisant suite à l'évaluation de la politique publique précitée, le CIMAP réuni le 17 juillet 2013 vient de décider (décision n° 11) que « s'agissant des rapatriés et des harkis, pour pérenniser l'action entreprise et remédier à la multiplicité des structures, les activités de la MIR et de l'ANIFOM seront transférées à l'office national des anciens combattants et des victimes de guerre (ONAC-VG), et la gestion de l'ensemble des dispositifs sera recentrée sur l'ONAC-VG et le service central des rapatriés, qui sera à terme un des pôles spécialisées de l'office ».

Albert en rigolerait: «La qualité de supplétif ne m'a pas été reconnue par l'agence au sens de l'article 9 de la loi du 16 juillet 1987 et de l'article 2 de la loi du 16 juin 1994. C'est marrant, j'ai pourtant cette médaille et cette carte du combattant. » La carte porte effectivement le n° 28. 405 et le diplôme qui accompagne la breloque porte la signature du ministre de la Défense de 2001. La rigidité des administrations peut être cassante parfois. «Il m'arrive d'en pleurer, s'amuse ce gaillard toujours plein de force. C'est bête, hein! » Albert explique pourquoi il n'est pas allé devant le juge avant 1973: «J'avais peur d'être renvoyé en Algérie puisque j'étais évadé de prison là-bas. » Le harki du GMS a en effet fui la prison du FLN près de Sidi Bel-Abbes dans le coffre d'une Peugeot 403 en 1963. Et il est arrivé en France sans papiers. En attendant l'hypothétique indemnisation, Albert El Bahri cultive son potager et engraisse des canards. Il hausse les épaules: «Mes 450 euros de retraite ne me suffiraient pas pour vivre».