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30/07/2014 12:34 Tulipe Noire Merci mon ami Speed pour ton partage, amitiés. 30/07/2014 12:36 Tulipe Noire Merci mon amie Iris 1950, heureux de ton passage et merci pour ton partage, au plaisir de lire tes beaux é amitiés. 30/07/2014 12:40 Daniel Une balade sous une plume aussi bleue que l'océ s'écume en silence sous les flots sereins de tes vers.... Dan.... 30/07/2014 13:06 Tulipe Noire Merci mon cher ami Daniel pour ton doux commentaire et ton partage, amitiés. Poeme au bord de la mer dubai. 07/08/2014 19:23 Gramo Hello Tulipe noire Merci de m'avoir envoyé un esquif de tes pensées avec des roulements de vagues et les cris perçant des mouettes que l'on devine. Ah, ces pas bien éphémères dans le sable fut-il mouillé ou non. Oui, tout cela que je ne verrai sans doute pas cette année mais que ta poésie vient de raviver en mon cœur. BRAVO GRAMO 07/08/2014 20:06 Tulipe Noire Merci mon ami Gramo pour ton partage et pour ton commentaire au plaisir de lire tes beaux écrits amitiés.

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Toi et moi irons au bord de la mer Toi et moi fuirons le froid de l'hiver Pour habiter sur les belles plages Ou dans les vagues des rivages. Toi et moi rêverons ensemble chaque soir Toi et moi vivrons sous les nuages dans le noir Toi et moi coucherons avec nos oreillers Sur le sable blanc dans la chaleur de l'été. Poeme au bord de la mer du nord. Toi et moi parcourrons tout le littoral Chaque soir nous rêverons à la belle étoile Loin des amis, sous le ciel tropical Pour voir le départ des chaloupes à voile. Au bord de la mer, nous vivrons nos vies Dans la paix, l'harmonie, et loin de la frénésie Toi et moi vivrons au bord de la mer Dans l'amour, sous le ciel bleu et clair. A Propos Né le 2 octobre en Haïti. Il a immigré aux États-Unis d'Amérique à l'âge de quinze ans. Il est ancien élève Des Frères de l'École Saint Joseph, Anse d'Hainault, Des Cours Privés de Roger Anglade, Port-au-Prince, Haïti, de Montclair High School, Montclair, New Jersey, de l'université de Rutgers à New Jersey, où il a reçu deux diplômes: l'un en comptabilité et l'autre en littérature française.

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Ô phare de l' Amour! qui dans la nuit profonde Nous guides à travers les écueils d' ici-bas, Toi que nous voyons luire entre le ciel et l'onde, Lampe d'Héro, ne t' éteins pas! La lampe d'Héro Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Voter pour ce poème | 165 votes Eh bien! reprends-le donc ce peu de fange obscure Qui pour quelques instants s' anima sous ta main; Dans ton dédain superbe, implacable Nature, Brise à jamais le moule humain. Au Bord de la Mer, Victor Hugo. De ces tristes débris quand tu verrais, ravie, D ' autres créations éclore à grands essaims, Ton Idée éclater en des formes de vie Plus dociles à tes desseins, Est-ce à dire que Lui, ton espoir, ta chimère, Parce qu'il fut rêvé, puisse un jour exister? Tu crois avoir conçu, tu voudrais être mère; A l' œuvre! il s'agit d' enfanter. Change en réalité ton attente sublime. Mais quoi! pour les franchir, malgré tous tes élans, La distance est trop grande et trop profond l' abîme Entre ta pensée et tes flancs. La mort est le seul fruit qu'en tes crises futures Il te sera donné d' atteindre et de cueillir; Toujours nouveaux débris, toujours des créatures Que tu devras ensevelir.

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Poésie Française: 1 er site français de poésie Les paysans au bord de la mer I Les pauvres gens de la côte, L'hiver, quand la mer est haute Et qu'il fait nuit, Viennent où finit la terre Voir les flots pleins de mystère Et pleins de bruit. Ils sondent la mer sans bornes; Ils pensent aux écueils mornes Et triomphants; L'orpheline pâle et seule Crie: ô mon père! et l'aïeule Dit -. mes enfants! La mère écoute et se penche; La veuve à la coiffe blanche Pleure et s'en va. Ces coeurs qu'épouvante l'onde Tremblent dans ta main profonde, Ô Jéhovah. Où sont-ils tous ceux qu'on aime? Elles ont peur. La nuit blême Cache Vénus; L'océan jette sa brume Dans leur âme et son écume Sur leurs pieds nus. On guette, on doute, on ignore Ce que l'ombre et l'eau sonore Aux durs combats Et les rocs aux trous d'éponges, Pareils aux formes des songes, Disent tout bas. L'une frémit, l'autre espère. Au bord de la mer, poème de Victor Hugo. Le vent semble une vipère. On pense à Dieu Par qui l'esquif vogue ou sombre Et qui change en gouffre d'ombre Le gouffre bleu!

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Ne suis-je point encor seul à te trouver belle? J 'ai compté tes trésors, j' atteste ton pouvoir, Et mon intelligence, ô Nature éternelle! T 'a tendu ton premier miroir. En retour je n' obtiens que dédain et qu' offense. Oui, toujours au péril et dans les vains combats! Éperdu sur ton sein, sans recours ni défense, Je m' exaspère et me débats. Ah! Poème au bord de la mer. si du moins ma force eût égalé ma rage, Je l' aurais déchiré ce sein dur et muet: Se rendant aux assauts de mon ardeur sauvage, Il m' aurait livré son secret. C 'en est fait, je succombe, et quand tu dis: « J ' aspire! » Je te réponds: « Je souffre! » infirme, ensanglanté; Et par tout ce qui naît, par tout ce qui respire, Ce cri terrible est répété. Oui, je souffre! et c'est toi, mère, qui m' extermines, Tantôt frappant mes flancs, tantôt blessant mon cœur; Mon être tout entier, par toutes ses racines, Plonge sans fond dans la douleur. J ' offre sous le soleil un lugubre spectacle. Ne naissant, ne vivant que pour agoniser. L ' abîme s' ouvre ici, là se dresse l' obstacle: Ou m' engloutir, ou me briser!

I Les pauvres gens de la côte, L'hiver, quand la mer est haute Et qu'il fait nuit, Viennent où finit la terre Voir les flots pleins de mystère Et pleins de bruit. Ils sondent la mer sans bornes; Ils pensent aux écueils mornes Et triomphants; L'orpheline pâle et seule Crie: ô mon père! et l'aïeule Dit -. mes enfants! La mère écoute et se penche; La veuve à la coiffe blanche Pleure et s'en va. Ces cœurs qu'épouvante l'onde Tremblent dans ta main profonde, Ô Jéhovah. Où sont-ils tous ceux qu'on aime? Elles ont peur. La nuit blême Cache Vénus; L'océan jette sa brume Dans leur âme et son écume Sur leurs pieds nus. Le soir au bord de la mer, poème de François-René de Chateaubriand - poetica.fr. On guette, on doute, on ignore Ce que l'ombre et l'eau sonore Aux durs combats Et les rocs aux trous d'éponges, Pareils aux formes des songes, Disent tout bas. L'une frémit, l'autre espère. Le vent semble une vipère. On pense à Dieu Par qui l'esquif vogue ou sombre Et qui change en gouffre d'ombre Le gouffre bleu! II La pluie inonde leurs tresses. Elles mêlent leurs détresses Et leurs espoirs.