Entrepot Du Pipi

Comment ne pas aimer cette vidéo, vraiment? Elle met en vedette cette charmante jeune fille qui, comme on peut très bien le voir, a désespérément besoin de faire pipi. Malgré qu'elle soit tout juste à côté d'une toilette, elle préfère tout garder à l'intérieur le plus longtemps possible. Les deux mains bien prises dans son entre-jambes, elle finit par perdre le contrôle et, tout en continuant à se dandiner, inonde sa petite culotte. Elle essaie encore de se retenir, mais hélas, le pipi tombe allègrement de sa culotte, coule le long de ses cuisses, mouille ses bas noirs et tombe sur le plancher. Voyant qu'il lui est à présent impossible d'arrêter le jet, elle finit par abandonner et s'accroupit pour finir son pipi. Amazon reconnaît que des employés doivent uriner dans des bouteilles | Radio-Canada.ca. Lorsqu'elle a terminé, elle laisse aller un court soupir, probablement ennuyée d'avoir eu un accident ou peut-être simplement soulagée! >> Voir la vidéo << À propos de l'auteur The Pisseur est le rédacteur en chef et fondateur de l'Entrepot du pipi.

Amazon Reconnaît Que Des Employés Doivent Uriner Dans Des Bouteilles | Radio-Canada.Ca

Aussi tentent-ils de grappiller du temps sur tout ce qu'il est possible d'économiser. « Ils nous donnent trente minutes de pause rémunérée, mais personne n'achève sa tournée s'il les prend, quelle que soit son efficacité », confirme un employé du Massachusetts. Si l'article de The Intercept est sans appel, il intervient dans un contexte social bien spécifique: les employés d'Alabama votent actuellement pour tenter de monter un syndicat — une première dans l'histoire de la firme. Ils sont près de 3000 et leur démarche s'inscrit dans une perspective inédite — que les services de communication d'Amazon cherchent à tout prix à démonter… Sauf que, ici et pas seulement... Le Guardian a suivi l'enquête entamée. Entrepot du pipi. Là encore, la firme s'enferme dans le déni, mais l'affaire prend des proportions internationales plus cocasses. Surtout, rappelle le média, que la maison de Bezos, à Washington, est réputée pour disposer de 25 salles de bain pour son unique usage. Dans un premier temps, le déni, puis, une autre approche dans la communication de crise: l'entreprise finit par reconnaître les faits, mais pointe les seuls sous-traitants.

Paying workers $15/hr doesn't make you a "progressive workplace" when you union-bust & make workers urinate in water bottles. — Rep. Mark Pocan (@repmarkpocan) March 25, 2021 Une attaque directe à laquelle Amazon s'est sentie obligée de répondre directement. «Vous ne croyez pas vraiment à cette histoire de faire pipi dans des bouteilles, si? Entrepot du pipi partout. Si c'était vrai, personne ne travaillerait pour nous», tweetait ainsi l'entreprise, avant de dérouler son habituel blabla sur les centaines de milliers de personnes qui, partout dans le monde, sont heureuses de travailler pour elle, avec de bons salaires et une bonne couverture santé. De mal en pisse Peut-être la firme de Jeff Bezos aurait-elle, ce jour-là, mieux fait de laisser son clavier tranquille et de se faire plus discrète. Car en l'absence d'accès à des toilettes et du fait de rythmes quasi inhumains, la problématique des chauffeurs forcés de soulager leurs vessies dans des bouteilles est réelle, bien connue, et lui est revenue en pleine face comme un boomerang.