Décision qu'il n'a jamais acceptée, par ailleurs.
Konbini news avec AFP
Un film au montage soigné, dans lequel la réalisatrice se met en scène avec Gabor. Cela donne des séquences qui font parfois penser à Jacques Tati ( Les vacances de monsieur Hulot) pour l'humour, au cinéma de la Nouvelle Vague pour la fraîcheur du ton, ou à Xavier Dolan pour le rythme et la qualité graphique. Mere et fille se léchère. Un documentaire vivant, coloré, où l'on sent la photographie, autant celle de la réalisatrice que celle de Gabor, dans la plupart des plans. Présenté en première mondiale, le 20 novembre dernier, en clôture des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), et déjà projeté à Toronto et aux États-Unis, Gabor est lancé ce vendredi, à 19 h, au cinéma Beaubien, en présence de Gabor Szilasi. En salle Documentaire Gabor Joannie Lafrenière Avec Gabor Szilasi, Andrea Szilasi et Doreen Lindsay 1 h 41 ★ ★ ★ ★ ½
Une connivence qui fait de ce premier documentaire consacré à Gabor Szilasi une merveille de cinéma. Une heure quarante minutes de moments savoureux. Un film tendre et respectueux qui retrace la carrière et la vie du photographe d'origine hongroise, arrivé au Canada en 1958. Avec des témoignages de ses amis, de sa femme, l'artiste Doreen Lindsay, de sa fille, l'artiste Andrea Szilasi. On y retrouve un Gabor très allumé, curieux, joueur, drôle et attendrissant. Avec des moments forts, comme lorsqu'il parle de sa mère, assassinée par les nazis en 1944, à cause de ses racines juives, même si la famille était convertie au protestantisme. Ou encore lorsqu'il rencontre un ami d'enfance à Budapest, professeur de musique à la retraite dont il n'a plus de nouvelles depuis le tournage. « Il est peut-être décédé, dit Gabor. Il m'avait dit qu'on était les derniers survivants des diplômés de 1946 de notre école, le Evangélikus Gimnázium. Après que sa fille se soit fait frapper, une Québécoise lance un cri du coeur contre l'alcool au volant | derniereheureqc.com. » Très léché, le documentaire est d'une grande richesse esthétique.
30 MAI 2022 À 10H12 E. DEMERS Une mère de famille du nom de Kathy Beaumier lance un cri du coeur aux gens conduisant avec les facultés affaiblies, après que sa fille, Vicky Beaumier, ait été gravement blessée par un chauffard et que son gendre, Yannik Duval, soit décédé. Le couple revenait d'une fête, où Vicky avait décidé de rester sobre et conduisait sur le boulevard Témiscamingue à Rouyn-Noranda, dans la nuit du 21 au 22 mai. Tout allait pour le mieux, avant qu'un véhicule ne dévie de sa voie et ne les frappe de plein fouet. Après sa démission de D-Media : Ahmed Aïdara reprend la revue de presse à…. La collision frontale était si violente que la voiture du couple a pris feu. Malgré la gravité de ses blessures, Vicky a eu le temps de sortir de la voiture, mais son conjoint a tragiquement péri dans les flammes. En tout, selon TVA, la femme « a subi de multiples fractures aux jambes, à huit côtes, à une hanche et à un pied. Elle a aussi un genou éclaté ». Le chauffard, soupçonné d'avoir conduit avec les facultés affaiblies, est un contrevenant qui cumule depuis 2018 de graves infractions au Code de la sécurité routière.