Des Chiens Pour Compter Les Grands Tétras - Ladepeche.Fr

ARIAGNO D. (2010). Grands traits de l'évolution du peuplement des mammifères rhonalpins depuis 40 ans in Evaluation de la biodiversité rhônalpine 1960 – 2010. Bulletin de la société linnéenne de Lyon – Hors-série 2: 98 – 16. CATUSSE & al 1996. La grande faune de montagne. Hatier éd., Paris: 260 p. CORTI R., CUGNASSE J. M., & DUBRAY D. (1994). Le Mouflon de Corse. Brochure ONCFS – CNERA Faune de montagne: 31 pages. CUGNASSE J. -M. & HOUSSIN H. 1993. Cnera faune de montagne le cas. Acclimatation du mouflon en France: la contribution des réserves de l'Office nationale de la chasse. Faune Sauvage 183, 26-37. CUGNASSE J. 1994. Révision taxinomique des mouflons des îles méditerranéennes. Mammalia 58-3: 507-512. HOUSSIN H., LOISON A., GAILLARD J. & JULLIEN J. Validité d'une méthode d'estimation des effectifs de chamois dans un massif des pré-alpes du Nord. Gibier Faune Sauvage. 11(4): 287– 298. JULLIEN J. -M., MAILLARD D., DARMON G., CALENGE C. & LOISON, A. 2009. Le mouflon dans les Bauges: cinquante ans d'histoire. Faune Sauvage.

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Il a réalisé de nombreux travaux sur plusieurs espèces méditerranéennes (petits et grands gibiers, prédateurs et déprédateurs) et surtout sur les Mouflons. Dominique Dubray, ingénieur agro-écologue, est entré à l'ONC en 1982 en qualité de conseiller cynégétique pour la région Corse. Il s'intéresse dès lors à la sauvegarde du Mouflon. Depuis 1983, il assure la direction de la Réserve de faune sauvage d'Asco (Haute-Corse). Actuellement basé à Montpellier, il anime, au sein du CNERA sur la faune de montagne, l'ensemble des études menées sur les ongulés de montagne au niveau national. Philippe Gibert est docteur vétérinaire. Cnera faune de montagne bio. Vétérinaire consultant depuis 1982 à l'ONC, au sein du CNERA, sur la faune de montagne, il est chargé de la surveillance sanitaire des réserves de faune. Membre fondateur et trésorier du Groupe d'étude sur l'écopathologie de la faune sauvage de montagne (GEEFSM Europe), il participe aussi au comité de pilotage du réseau national SAGIR de surveillance de la faune sauvage.

Réserve nationale de chasse et de faune sauvage des Bauges Thierry Chevrier Office national de la chasse et de la faune sauvage. CNERA cervidé-sanglier La capture d'ongulés en montagne se heurte à des contraintes environnementales. Différentes techniques ont été testées dans le massif des Bauges1 (Savoie). Elles ouvrent des alternatives intéressantes en milieu accidenté. Techniques pour capturer des cervidés en montagne à des fins scientifiques | Espaces naturels. Préalablement à toute opération, il est indispensable en milieu accidenté d'acquérir une connaissance annuelle aussi fine que possible des populations de cervidés (densité, taille des groupes, rythmes d'activités, milieux fréquentés, passages privilégiés, zones d'alimentation…) et de leur environnement (topographie, couvert végétal…). Il convient de choisir un bon emplacement. En effet, les conditions de capture seront d'autant meilleures que la densité d'animaux est élevée. Les emplacements de pièges doivent être identifiés et préparés plusieurs mois à l'avance. Seront privilégiés les secteurs les plus fréquentés par les animaux et les plus faciles d'accès, peu ou pas soumis aux dérangements extérieurs (tourisme, circulation routière).