Pas un milieu de vie comme on nous dit que c'est le cas dans les CHSLD. Un vrai milieu de vie. J'ai vraiment eu l'impression que c'est un prolongement de la vraie vie, dans une vraie maison. On tend vers une vie quotidienne. Par contre, je n'ai pas de réponse au fait que ça ne se fasse pas ailleurs. Je ne comprends par pourquoi on n'a pas ça ailleurs. » De petits détails, à portée de main Après son passage à la Maison Carpe Diem, Mme Lhoumeau a le sentiment que ce n'est pas impossible de changer cette grosse machine que sont les soins apportés aux aînés malades. « C'est comme si avant d'aller là, ça représentait un trop gros changement, impossible à faire dans la société dans laquelle on vit. Mais à Carpe Diem, j'ai vu que c'est une approche faite de détails, des choses pas compliquées à changer. De petites choses qui font une grosse différence. Quartier rouge carpe diem. En sortant de là, le défi de faire des changements au système actuel m'a semblé moins immense. Il y a plein de petites choses qu'on peut faire, qui sont à notre portée.
Paroles de la chanson Carpe diem par Norsacce Souterraine est la réunion Trop loin, j'suis à 9500 kilomètres De tous ces PDs comme L'île de la Réunion Entre nous pas de potentielle union J'suis la frontière entre les faux gars Et les vrais, véritable symbole Je les sectionne, genre trait d'union T'écoutes et tu t'rends compte Que meurtrière est la scène, fils J'viens poser de bombes dans votre putain d'Game Halal est la saucisse Du sens inverse au 6. 6.
La mère de l'épouse ne sait pas signer. Sources Naissance: mention dans l'acte de mariage Union: Thannenkirch, M, 1844, E., p. 314 et 315/382
Après avoir accompagné son père, Roger, à travers la maladie d'Alzheimer, Marika Lhoumeau a décidé de chercher des réponses à une question qui l'obsédait: peut-on faire mieux? Ses recherches l'ont guidée vers la Maison Carpe Diem de Trois-Rivières, un endroit où on accompagne d'une manière bien différente les personnes vivant avec cette maladie. Pendant trois semaines, elle a habité cette demeure. Elle raconte son expérience dans le balado Devenir Roger. « Avant d'arriver là-bas, j'étais nerveuse, confie-t-elle. J'étais devant l'inconnu. Je m'en allais là pour trois semaines, j'avais un stress de ne pas savoir comment ça allait se passer. Je me suis plongée dans cet univers du jour au lendemain. Quartier rouge carpe diem l art. » Ce qui l'a frappée à son arrivée, c'est l'accueil qu'on lui a réservé. « Je me suis sentie bienvenue tout de suite, relate-t-elle. Tout le monde était à l'écoute. Je ne voulais pas avoir de traitement différent. Je ne voulais pas de tambour ni de trompette. J'arrivais là-bas comme n'importe qui d'autre.