La Fessée De La Demoiselle

Pièce de Théâtre: Acte 1, scène 3: La fessée de la demoiselle Résumé scène 2: Monsieur et sa promise prennent du bon temps pendant le réveillon de Noël entre personnes de bonne famille. La demoiselle néglige son fiancé et oublie les bonnes manières. Elle semble refuser à se plier aux règles impitoyables du patriarcat ambiant. Monsieur se met en tête de lui donner une leçon. Il prend la demoiselle par le bras et l'emmène à part dans un petit salon contigüe à la salle à manger. Mademoiselle, virevoltant dans sa robe de soie Oh, devions-nous si tôt prendre congé Monsieur? Cela faisait longtemps que je ne m'étais autant amusée! Monsieur, avec fermeté Cela était malheureusement nécessaire Mademoiselle. Pareil comportement de votre part, pour une demoiselle de votre rang, n'est point acceptable. Eût-il vraiment fallu que vous vous tortilliez ainsi devant ces vautours? Contant fleurette comme une jeune fille perdue? Tu la veux ta bonne fessée? – La ligne de mire. Abusant de liqueur, devant nos familles et amis? Ne vous ai-je pas déjà rappelée à l'ordre?

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(Etc. ) Hergé, Tintin au pays de l'or noir, Casterman 1950, 58, 3-c (© Moulinsart). Tout au long de l'Ancien régime, la fustigation publique des voleurs ou des prostituées était une «pédagogie de l'effroi» visant le «peuple». Une leçon sociale et morale souvent imitée et qui légitimait les brutalités correctives dans la domus familiale. La fessee domestique sans fil autonomie. Or, les violences domestiques et familiales n'ont pas disparu comme le montre l'actualité de la maltraitance, accablante envers les adultes dévoyés. Durant longtemps, alors que le pouvoir du père reflétait celui du roi, elles complétaient dans leur différence sociale le monopole de la violence de l'État moderne. Militaire, pénale, pénitentiaire voire «pédagogique»: la violence institutionnelle, infligée à des degrés et selon des finalités non uniformes, visait la discipline sociale. Celle que Michel Foucault pointe en 1975 dans Surveiller et punir en ses dimensions punitives, carcérales, hospitalières, asilaires et scolaires ou encore manufacturières. La brutalité individuelle ne tombe pas du ciel.

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Moins impulsive et plus longue que la gifle ou le soufflet, plus préméditée par l'adulte, la fessée reste la forme banale mais cependant cruelle du châtiment des polissonnes et des polissons. Durant des siècles, le «droit de correction» corporelle est ainsi un privilège de l'autorité parentale envers les «enfants récalcitrants». Rituel, posture, souffrance: l'anthropologie de la fessée est celle de l'humiliation morale et physique de l'enfant. À mains nues, avec des verges, un ceinturon ou avec le martinet légendaire. La fessee domestique soies sauvages. Cul dénudé ou en slip, le bambin, plié sur le genou paternel ou étendu sur un lit, subit, intériorise et pleure la brutalité corporelle comme une norme punitive. Il faut relire les 49 chapitres du chef d'œuvre minimaliste Poil de Carotte de Jules Renard. Ce petit livre autobiographique donne sens à la culture de la brutalité parentale dans la famille Lepic. Dans ce cas, elle est maternelle contre l'enfant non désiré et souffre-douleur. La fessée se ramène à ce que les spécialistes de la maltraitance des enfants nomment les «violences éducatives ordinaires» (VEO).

confession Dans les récits,, il y a souvent des lettres sur la fessée donnée aux femmes. Je vous envoie mon avis, je crois que je suis bien placée. Je suis femme et je suis très régulièrement fessée par mon mari, vraiment très souvent. Etienne est un fervent adepte de la discipline conjugale. A la moindre bêtise, à la plus petite faute domestique, je suis punie, toujours par une fessée complétée de pénitences. tout cela faisant l'objet d'un cérémonial précis aussi important que la fessée proprement dite qui elle n'est jamais vraiment trop terrible. Tout commence quand Etienne m'appelle au salon et me dit qu'il a un reproche à me faire. Tout de suite, je mets mes mains sur ma tête et je baisse les yeux, exactement comme une gamine désobéissante. La fessee domestique. C'est toujours humiliant de se voir rappeler ses fautes, rôti trop cuit, vaisselle mal rincée, etc… quelquefois j'essaye de nier, quand je juge le grief injustifié, ou vraiment extrêmement minime. Mais Etienne a toujours le dernier mot, alors je me mets à pleurnicher, réflexe typiquement féminin.