Le chant du robot est une marque franaise menée par Geoffrey, qui créé et assemble toutes les créations sortant de son atelier. Les sacs main Colvert et les cabas sont pour la plupart des modles uniques et les autres modles de la gamme sont assemblés en séries trs limitées. Le caractre exclusif de chaque sac offre donc aux clientes un choix de motifs et de couleurs trs varié. Pour autant, malgré cet éventail, on retrouve le style et l'esprit Le Chant Du Robot dans chacune de ses créations. 100% Made in Lyon
Identité de l'entreprise Présentation de la société LE CHANT DU ROBOT LE CHANT DU ROBOT, entrepreneur individuel, immatriculée sous le SIREN 500115027, est en activit depuis 14 ans. Implante MENILLES (27120), elle est spécialisée dans le secteur d'activit de la fabrication d'articles textiles, sauf habillement. recense 4 établissements, aucun événement. Une facture impayée? Relancez vos dbiteurs avec impayé Facile et sans commission.
Découvrir PLUS+ Activité principale au registre des métiers 1512ZA Date de création établissement 13-04-2013 Nom Complément d'adresse 4 RUE DES PLASSARDS Adresse LE MAINE FLEURET Code postal 17260 Ville TANZAC Pays France Voir tous les établissements Voir la fiche de l'entreprise
Livres Critique littéraire Une somme consacrée aux complaintes criminelles à la mode à la fin du XIXᵉ siècle. Article réservé aux abonnés « Chanter le crime. Canards sanglants & complaintes tragiques », de Jean-François « Maxou » Heintzen, Bleu autour, 672 p., avec une clé USB comprenant deux films, 36 €. En France, tout finit par des chansons, y compris les crimes les plus sordides – massacres à la hache, empoisonnements, parricides… Les foires et les trottoirs ont ainsi résonné de ritournelles macabres ayant pour fonction sociale de diffuser l'information et d'édifier le grand public, avant d'être définitivement supplantées, après la seconde guerre mondiale, par les journaux à grand tirage et les émissions de radio. « Le crime se chante », notait ainsi Michel Foucault dans Moi, Pierre Rivière, ayant égorgé ma mère, ma sœur et mon frère… (Gallimard, 1973). Sous la III e République, dans les villes et les campagnes, goualeuses et chanteurs de rue ont interprété ces complaintes criminelles, retraçant fidèlement des faits divers sur l'air d'une chanson célèbre, par exemple La Paimpolaise, La Petite Tonkinoise ou Sous les ponts de Paris.