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Soupçons de "torture" et "exécutions sommaires" Des experts et activistes accusent les policiers impliqués de "torture" et "d'exécutions sommaires". "Nous avons vu un cadavre dont le visage était recouvert d'une poudre blanche, qui ressemblait à de la cocaïne", a témoigné auprès de l'AFP Rodrigo Mondego, responsable de la commission des droits de l'Homme au barreau de Rio. "Ceux qui ont tué cette personne ont étalé de la cocaïne sur son visage et lui en ont peut-être fait manger. C'est un acte de torture", a-t-il raconté. Musique brésilienne carnaval de. "Nous soupçonnons également un grand nombre d'exécutions sommaires. Des témoins nous ont raconté que des hommes qui s'étaient rendus aux policiers avaient été abattus dans les bois" sur la partie haute de la favela, a-t-il dit. Selon cet avocat, le bilan de l'opération policière à lui seul renforce ces soupçons d'exécutions extrajudiciaires: "si l'on consulte les statistiques dans le monde entier, on ne verra jamais une fusillade où plus de 20 personnes meurent dans un camp et aucune dans l'autre".

Vers un scandale à la Georges Floyd au Brésil? Dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, on peut voir deux agents de la PRF (la police brésilienne) casqués tenter de refermer le coffre d'une voiture sur un homme dont les jambes dépassent encore. Sur la vidéo, on peut également voir une épaisse fumée blanche qui semble venir d'une bombe lacrymogène s'échappe du coffre et entendre des cris de douleur et les commentaires d'un témoin criant: "ils vont le tuer! ". Braderie de l Ascension : Marche a Longuyon. La vidéo qui dure 1, 28 min voit l'homme tenter de débattre, avant de ne plus rien faire. La vidéo se termine par l'action des deux policiers: ils replient les jambes de l'homme et ferment le coffre. La Police routière fédérale (PRF) a assuré jeudi dans un communiqué que les agents avaient "employé des techniques d'immobilisation et des instruments à faible potentiel offensif" face à "l'agressivité" de Genivaldo de Jesus Santos, 38 ans, lors d'un contrôle de routine. Selon la PRF, l'homme a ensuite été conduit en direction du commissariat d'Umbauba, mais il a "fait un malaise" durant le trajet et a été amené à l'hôpital, où il a été "pris en charge" et "où le décès a été constaté".