#17 - Autoconstruction: Les cloisons (Enduit terre sur OSB) - YouTube
merci d'avance chapeau à boisphil pour son blog
En Eco-construction comme dans la nature: rien ne se perd.
Mais faut'il que la terre soit en contact avec la pièce pour que celle-ci restitue correctement la chaleur? Pourquoi cela ne pourrait pas fonctionner? Bonjour, Ce n'est donc pas logique de remplir une cloison en terre pour avoir de l'inertie? Un peu d'aide svp par Monique » 21 Mai 2015 10:17 Bonjour, inertie oui, mais l'OSB et le fermacell vont empêcher que le mur se charge en chaleur. Enduit terre sur os 9. Donc oui, il faut que la terre soit en contact avec la chaleur. Pour le même coût, tu fais ton mur en BTC... Merci Monique pour tes conseils. Je vais regarder les BTC de plus près. Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités
Dans cet article, je vais détailler un peu le dernier point de l'article précédent, à savoir comment simuler une cloison en terre sur des murs en OSB. La technique est un peu longue, mais elle fonctionne, nous en sommes absolument ravis! À la base, nous avons des cloisons en OSB: Nous y agrafons un filet en fibres de verre (attention aux échardes!
En fait, le contrat concernera plus que les 15 000 agents de sécurité syndiqués chez les Métallos de la FTQ, puisqu'il s'agit d'un décret qui fixe des conditions minimales et qui couvre toute l'industrie. Les conditions négociées sont ensuite étendues à l'ensemble, même aux non-syndiqués. Au total, ce sont donc quelque 20 000 agents de sécurité qui sont concernés, a précisé M. Laflamme. L'association regroupe une vingtaine d'entreprises membres, soit environ 75 pour cent des travailleurs de l'industrie. Le syndicat estime aussi avoir fait des gains quant à l'ancienneté. «Un des points majeurs, c'était la procédure pour mieux tenir compte de l'ancienneté dans l'attribution des assignations. On a considérablement renforcé les clauses pour mieux respecter l'ancienneté», s'est félicité le président de la section locale 8922 du syndicat des Métallos, Patrick Pellerin.
Le salaire horaire passera ainsi de 17, 49 $ à 18, 99 $. Au cours d'une entrevue, le représentant du syndicat des Métallos, Sylvain-Rock Plante, s'est dit particulièrement fier d'avoir réussi à négocier la mise en place d'un régime de retraite collectif. Les employeurs contribueront à ce REER à raison de 0, 10 $ l'heure de travail, et ce, peu importe la contribution du salarié. «Non, dans l'industrie, ça n'existait pas. Même si ce n'est pas un montant qui est important, c'est un début. Et nous, on est très satisfait de ça. C'est un dix sous de chaque heure travaillée que l'employeur s'est engagé à payer», a souligné M. Plante. «C'est sûr que ce n'est pas un montant important, là, mais on ouvre des portes et on le majorera à la prochaine négociation», a-t-il ajouté. M. Laflamme confirme que l'association des agences de sécurité «a consenti dans le processus» à cette demande de REER collectif. Elle l'a fait «dans un esprit de continuité et de professionnalisation de l'industrie, avec la venue du BSP, le Bureau de la sécurité privée».
Katinniq – Trois ans après l'obtention de leur accréditation syndicale, les agents de sécurité de la mine Raglan, près de Katinniq dans le Grand Nord québécois, ont enfin un nouveau contrat de travail. À la suite d'une procédure juridique plutôt inhabituelle, possible seulement avant une première convention collective, un arbitre a tranché et décrété les conditions de leur nouveau contrat de travail après avoir entendu les demandes officielles des parties. «J'aimerais saluer la résilience de nos membres qui ont patienté trois ans avant d'obtenir ce contrat de travail», explique Harold Arseneault, représentant syndical. «Ils ont eu à faire face à un employeur qui s'est affairé à prendre toutes les dispositions juridiques à sa portée pour repousser les possibilités d'entente. Ils n'ont jamais abandonné». Les travailleurs membres de la section locale 9449 du Syndicat des Métallos bénéficient donc depuis le 1er septembre dernier d'une nouvelle entente de trois ans. Ils se voient octroyer des augmentations de salaire rétroactives en raison d'un rehaussement de leur classement dans la politique salariale de l'entreprise.
En fait, le contrat concernera plus que les 15 000 agents de sécurité syndiqués chez les Métallos de la FTQ, puisqu'il s'agit d'un décret qui fixe des conditions minimales et qui couvre toute l'industrie. Les conditions négociées sont ensuite étendues à l'ensemble, même aux non-syndiqués. Au total, ce sont donc quelque 20 000 agents de sécurité qui sont concernés, a précisé M. Laflamme. L'association regroupe une vingtaine d'entreprises membres, soit environ 75% des travailleurs de l'industrie. Le syndicat estime aussi avoir fait des gains quant à l'ancienneté. «Un des points majeurs, c'était la procédure pour mieux tenir compte de l'ancienneté dans l'attribution des assignations. On a considérablement renforcé les clauses pour mieux respecter l'ancienneté», s'est félicité le président de la section locale 8922 du syndicat des Métallos, Patrick Pellerin.