Image crédit: Depositphotos Que la paix soit avec vous. « La lumière de l'unité est si puissante qu'elle peut illuminer la terre entière. » – Bahá'u'lláh Certaines personnes que nous rencontrons laissent une marque dans notre esprit qui ne peut être comprise que par une prise de conscience. Nous sommes tous des étudiants de la vie, aspirant à ce que notre lumière brille avec les autres. Cela s'exprime à travers nos interactions les uns avec les autres et la façon dont nos connexions spirituelles illuminent le monde et nourrissent son énergie spirituelle. Nous devenons plus forts grâce à une meilleure compréhension de nous-mêmes et de notre but dans le monde. Lorsque nous cherchons de nouvelles façons d'être et de savoir qui nous sommes vraiment, nous sommes obligés de nous poser des questions difficiles sur la nature réciproque des interactions humaines. Nous sommes des esprits intrinsèquement purs qui sont attirés par les auras positives et négatives des autres. Quand nous rencontrons des êtres spéciaux, appelés » flammes jumelles » ou » des âmes «, le plus souvent, nous avons l'impression de les avoir déjà vus.
« La paix soit avec vous! » – Paroisse Saint-Severin Passer au contenu « La paix soit avec vous »: dans l'évangile selon saint Jean, il s'agit de la première parole que le Christ ressuscité adresse à ses disciples rassemblés. Parole adaptée aux circonstances, puisqu'ils se sont retranchés dans une pièce fermée à clés, de peur qu'ils ne soient traités de la même façon que leur maître. Parole qui vient également accomplir les promesses de Dieu: la paix est le bien messianique par excellence. Si leur trouble – et le nôtre – naît de la peur de la mort, la paix peut jaillir au contact du Christ victorieux. Nous entendons un écho de cette dynamique dans l'Apocalypse de saint Jean: « Ne crains pas. Moi, je suis le Premier et le Dernier, le Vivant: j'étais mort, et me voilà vivant pour les siècles; je détiens les clés de la mort et du séjour des morts » (Ap 1, 17-18). « La paix soit avec vous »: cette salutation est fréquemment reprise par saint Paul dans ses lettres. Dans la liturgie de l'Église, c'est ce que dit l'évêque au début de la messe qu'il préside, nous rappelant la présence en nous du Christ, notre paix, et nous invitant à la vivre les uns avec les autres.
» Il se laisse toucher. C'est unique dans l'histoire! Ce Dieu qui est le nôtre ne peut pas être connu et aimé en dehors de l'identification des marques de ses plaies. La preuve que le Dieu que nous adorons n'est pas un autre qui soit lui, le pur produit d'une pub, c'est que nous, notre Dieu est le Dieu qui a souffert la passion dans sa chair, est mort et est Ressuscité. Voilà le Dieu qui est apparu aux disciples d'Emmaüs puis aux onze. C'est ce Dieu d'amour, qui est mort pour nous, et est ressuscité pour nous, que nous annonçons. Il n'est pas un Dieu forgé dans nos esprits. Il n'est pas un produit fabriqué par nos peurs et nos doutes. Non! Le Ressuscité, nous l'avons vu, est une Personne vivante. Une autre preuve plus éblouissante de la Présence du Ressuscité! » Dans la joie des disciples, ils n'osaient pas encore y croire, et restaient saisis d'étonnement. Jésus leur dit: « Avez-vous ici quelque chose à manger? » Ils lui présentèrent une part de poisson grillé qu'il prit et mangea devant eux.
lundi, 30 mai 2022. 11:02 (Mise à jour: lundi, 30 mai 2022. 13:32) À environ deux kilomètres des Nations Unies, où la guerre de la Russie en Ukraine occupe l'avant-scène, la foule du Madison Square Garden a scandé le nom du gardien Igor Shesterkin lors des derniers instants d'une victoire en séries éliminatoires. Des scènes similaires se sont déroulées dans la capitale lors du premier tour éliminatoire lorsque les partisans des Capitals de Washington ont acclamé le capitaine de longue date Alex Ovechkin avec des chants de 'Ovi! Ovi! ' Ovechkin a longtemps été associé au président russe Vladimir Poutine, l'instigateur de l'invasion. Les séries éliminatoires de la Ligue nationale de hockey sont devenues par inadvertance un carrefour du sport et de la politique, les Russes jouant sur les patinoires nord-américaines dans le contexte du plus grand conflit militaire en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Alors que leurs compatriotes dans plusieurs sports, du soccer au tennis, ont été bannis des compétitions, les Russes de la LNH ont continué à jouer tout en restant discrets à l'extérieur de la patinoire.