Meubles Provençaux Peints

Le poisson était placé dans la boite, avant d'être secoué avec la farine afin de le préparer pour la cuisson. Lorsqu'elle ne servait pas, la boite à farine était elle aussi suspendue à côté de la crédence ou du glissant. Les farinières comme les boites à sel ont été fabriquées à titre purement décoratif même lorsqu'on a cessé de s'en servir. N'étant plus désormais d'un usage utilitaire, ce petit mobilier provençal a reçu avec le temps une décoration encore plus riche et plus développée. Série de boites en noyer Provence Série de boites Provençales en noyer vers 1800 Boite à farine « fariniero » de 46cm, Boite à sel « saliero » de 40cm et Porte-couteaux « couteliero » de 48 cm en noyer massif de la même série. Meubles provençaux peints. Une infinité de petits meubles Dans le mobilier provençal il existe également d'autres petits meubles montrant l'extrême spécialisation des meubles provençaux traditionnels. Proche de la boite à sel, la – cousteliero est une sorte de râtelier qui sert à accrocher les couteaux. On trouve aussi des fontaines décorées dans le même style, ainsi que des supports en bois pour recevoir des petits ustensiles tels les portes-râpes, et même les taille-pain trancho-lesco en Provençal.

Meubles Provençaux Peints

Commode double peinte en bleu puis patinée. Le résultat et la qualité sont au rendez-vous, et avec un faible budget vous faites plaisir.

Elle peut même être dotée d'un fronton de style Renaissance. A noter: Dans les intérieurs bourgeois, l'armoire est souvent couplée avec une commode aux courbes prononcées et aux pieds galbés assez courts. L'armoire, star du mobilier provençal, a un sérieux concurrent… La panetière provençale ou « paniero » Panetière provençale La panetière est le meuble typique par excellence. Meubles Peints - 20 Idées Relooking - BricoBistro. Il s'agit d'une cage à barreaux à accrocher au mur servant à la conservation et au stockage du pain. Au Moyen-Âge, simple caisse de bois blanc, elle gagne sa qualité de meuble d'ornement au XVIIème siècle. D'ailleurs, la finesse de ses ornements marque la classe sociale de la maisonnée à laquelle elle appartient. Considérée comme la maîtresse du pain, indispensable à sa fabrication, elle est aussi appelée « maestro » ou « maestra ». A l'époque, le pain est encore confectionné à la maison ou cuit dans le four communal une fois par semaine, il faut donc le conserver précieusement. Cette pratique perdure jusqu'à La Première Guerre Mondiale.