Depuis la réouverture de l'Indianapolis Motor Speedway après la Seconde Guerre mondiale, cela ne s'est produit que quatre fois. Johnson se sent comme un long shot. Mais là encore, il l'a toujours fait. C'est pourquoi parmi son interminable collection de récompenses, il a toujours convoité ses trophées de recrue de l'année autant que n'importe quel autre, remportés dans quatre séries différentes du tout-terrain à l'American Stock Car Association. Et c'est pourquoi il est toujours intelligent de perdre la Cup Series ROY contre Ryan Newmann il y a plus de deux décennies. Peut-être ajoutera-t-il une autre distinction de recrue de l'année, cette fois de la course qu'il avait depuis longtemps retirée de sa liste de seaux et jetée dans ce seau "Eh bien, putain, je ne ferai jamais ça". Une recrue de 46 ans. "Hey, les trophées sont les trophées", a-t-il déclaré jeudi, riant mais aussi sérieux. "Je prendrai tous les trophées que je pourrai d'ici dimanche. ".
Il sait combien cette maladie pèse sur les épaules des aidants. « Je l'ai été pendant neuf ans. J'ai arrêté de travailler pour m'occuper de ma femme malade. Une nuit, j'ai craqué. Les pompiers m'ont emmené aux Urgences. Le médecin m'a dit, prenez soin de vous sinon vous finirez au cimetière. Alors j'ai pris une aide avec une dame cinq jours en semaine et une autre le week-end, une veilleuse de nuit en semaine et j'assurai les deux nuits du week-end. » Un soutien onéreux (5 200 euros par mois). Dammarie-les-Lys 11 mai 2022 Jean Cré, président de France Alzheimer 77, et Natacha Bouville, conseillère municipale déléguée à la Santé. Comme infirmière libérale, elle connait de nombreux aidants "en souffrance". Conseillère municipale déléguée à la santé, Natacha Bouville connaît aussi cette réalité comme infirmière libérale: « Je vois les aidants qui s'épuisent. Pas de répit, pas de vacances. Ils sont en souffrance. J'ai un patient qui a été admis en Ehpad durant un mois pour que l'aidant puisse récupérer en restant chez lui.
Ainsi, pas moins de 9 copropriétés sur 10 font face à des impayés. Mais derrière ce chiffre se cache une situation extrêmement dégradée surtout dans une partie du parc immobilier. Si certaines copropriétés subissent quelques impayés assez faibles, d'autres sont en revanche en très grande difficulté avec une grande partie des propriétaires qui ne versent plus un euro depuis plusieurs années. A l'arrivée, ce constat: deux tiers des impayés sont concentrés dans seulement 16% des immeubles. L'étude de Bellman montre aussi qu'il y a des zones géographiques où c'est beaucoup plus fréquent. La plupart des impayés sont ainsi localisés en Outre-mer, en Ile-de-France, en Corse et dans les Bouches-du-Rhône. En Outre-mer, il y a ainsi 42% des copropriétés considérées comme en difficulté. On notera que Bellman estime ici qu'une copropriété est en difficulté lorsque le taux d'impayés y est égal ou supérieur à 20%. L'étude regarde alors la proportion de ces immeubles qui dépassent ce taux département par département.